Les Chroniques Abymoises

Je vais vous remettre mes notes de vos exploits,...
Mais y a un truc bizarre, c'est que je retrouve rien sur la dernière partie. Vous avez quoi de votre côté?

Mémoires d’éclusier

Mois de l’hydre 1450, 10e jour
Au milieu de l’hiver, la neige recouvre la ville…
Vous recevez une lettre d’Asphir, un ami opalin demandant votre aide. Il vous donne rendez-vous dès le lendemain matin chez lui, dans le quartier des vices, et le ton de sa demande sent la peur et l’urgence. Cet opalin est resté en Abyme pour être un pornographe dont le talent n’est plus à démontrer. Il est particulièrement réputé pour le caractère osé de ses scènes et de ses provocations.
Valéria Doutrelimbe s’aperçoit qu’une de ces élèves est malade : elle tousse de manière inquiétante et est prise de forte fièvre. Plus étrange encore, elle crache des copeaux de bois lors de ces déchirantes quintes de toux, obligeant la directrice du collège à la mettre à l’isolement dans l’infirmerie. La maladie est inconnue du médecin de l’établissement. En menant son enquête sur ce syndrome, elle se rend compte que la malade fait partie d’un groupe de trois amies qui ont pris l’habitude de faire le mur à la nuit tombée pour gouter aux délice de la vie nocturne en Abyme, se qui est bien sûr contraire au règlement de l’établissement. Il s’agit de Aline Diganne, la malade, de Sophine, qui montrera également des signes de contamination dès le lendemain et de Vilmille Chèvrefeuille. Les deux premières sont humaines et la dernière est lutine. Toutes sont abymoise et issues de la bourgeoisie de la ville. Manifestement , un peu de reprise en main de la discipline de l’établissement semble nécessaire, puisque le concierge les a vu passer chaque soir sans les arrêter ni avertir Valéria.

Solfalol à vu ce matin-là un incident un peu étrange dans la taverne ou il prenait son petit déjeuner. Un homme ressemblant à un ouvrier se disputait avec un vieux chevalier. L’ouvrier semblait malade et toussait beaucoup.

Mois de l’hydre 1450, 11e jour
La compagnie se rend comme convenu chez Asphir, de bon matin. Sur la route, ils croisent un démon fou avec une toile d’araignée peinte sur lui. Il erre en hurlant de manière incohérente et semble terrorisé par tout ce traverse son champs de vision.
Vous découvrez Asphir gisant chez lui, à même le sol. La fouille de son appartement n’est pas très fructueuse. Vous ne trouvez qu’un poème et une lettre mentionnant la légende des épées abymoises et l’âme d’Abyme. Il semblerait que certains fassent tous pour les retrouver. Si ces objets existent et tombe dans de mauvaises main, c’est Abyme toute entière qui serait menacée… A la lecture de cette lettre, vous vous rendez compte qu’elle aurait du être détruite, ce qui n’a manifestement pas été fait. Et surtout elle n’était pas adressée à Asphir, mais au Grand Inquisiteur. En sortant de chez le démon, vous apercevez une ombre qui vous épie ressemblant à un bossu.

En rentrant au collège, Valéria décide d’envoyer Vilmille dans le quartier du lierre pour enquêter sur les copeaux de bois crachés par les jeunes malades. Solfalol est formel : il s’agit d’écorce d’Arbre Roi. Elle part sur le champ pour se renseigner auprès des lutins sur cette maladie si étrange.
Maître Prévilion , quant à lui, va enquêter dans le quartier Liturge pour en savoir plus sur la lettre des épées. En évoquant le Grand Inquisiteur à l’entrée de l’ambassade, il déclenche un mouvement de panique et se retrouve sans interlocuteur. Cette piste semble vouée à l’échec.

Mois de l’hydre 1450, 12e jour
La compagnie voit dans le journal ce matin là qu’un autre opalin s’est fait attaqué durant la nuit : Kaalis, découvert par son ami farfadet Geniomo. Vous décidez donc de lui rendre visite, dans l’optique d’élucider le mystère de l’agression d’Asphir.
Vos recherches montrent que les opalins ont été peint à même la peau avec un liquide transparent aux reflets irisés : du sang d’opalin. Mais il semble avoir été modifié pour obtenir des propriétés bizarres. Le simple fait de les nettoyer avec précaution les soignent.
Voyant cela, Geniomo, qui était très hostile à votre intervention, change d’opinion et vous donne une liste de nom d’opalins. Seul deux ne sont pas rayés (Lorgrenard et Euchloert). Par déduction, vous vous rendez compte qu’il s’agit de la liste des démons se faisant attaqués. Vous décidez d’aller à la recherche des deux derniers.
En sortant de chez Kaalis, vous voyez voyez une ombre qui s’esquive ; une ombre de bossu aux yeux rouges.
Vous vous rendez au quartier des vices, pour rencontrer Lorgrenard. Ce dernier est connu pour ces talents dans le domaine des plaisirs. Il attendait manifestement la mort elle-même, persuadé d’être le suivant sur la liste de l’agresseur. Mais il se rend vite compte que vous n’êtes pas le Grog Mitaine et se confie à vous. Il est un ami de l’eclusier et vous raconte l’histoire de se disparition.
L’éclusier est un poète, et l’auteur du poème que vous avez trouver chez Asphir. Pour rédiger ces vers, il s’inspire d’histoires vraies de démons lorsque ces derniers se confient à lui autour d’une chope. Il a la réputation de ne jamais révéler ces sources, ce qui fait que beaucoup de démons ont finis par venir le voir. Son dernier livre est tiré à 6 exemplaires, que Lorgrenard à livrer chez chacun des acheteurs. Il a dû écrire quelque chose qui à troubler quelqu’un au point de vouloir faire taire le mouchard. C’est là que Lorgrenard vous donne la liste des acheteurs.
Suite à cet entretient, Solfalol se rend au port pour enquêter sur la disparition de l’éclusier. Il apprend part un ivrogne de la capitainerie que tout le monde déteste le remplaçant du démon disparu. En repartant, il voit une nouvelle fois l’ombre du bossu aux yeux rouges.
Il veut ensuite se rendre aux trabouliennes pour enquêter sur la guilde des toits et des greniers car des farfadets disent que des lutins disparaissent dans le quartier du lierre. Mais ne route il tombe dans un canal, manque de se noyer et se fait agresser par un passeur qui le prends pour un resquilleur. Il parvient à lui échapper de justesse.
Pendant ce temps, Maître Previlion apprends par un indic que le vin but par les élèves malades vient de chez Messire Clochier, dans le quartier du lierre. Il décide donc de rendre visite au négociant en vin. Il apprend donc que ce vin vient d’un lot de 3 tonneaux que le lutin à acheter à l’intendant de l’ambassadeur Urguemand. Il s’agissait qui donnait une fête pour son anniversaire. Ces 3 tonneaux faisaient parti du surplus revendu par la suite. Messire Clochier à écouler tout son stock au détail dans le quartier du lierre et trois tavernes.
Une fois tous réunis, vous analyser le poème retrouvé chez Asphir. Vous en arriver à faire le lien entre la mortebranche et le vin, et entre cette histoire et les attaques. Vous ne avait toujours pas qui est le commanditaire de cette acte de terrorisme, ni s’il existe un remède, ni le mobile du coupable.
Enfin, VAléria est de plus en plus inquiète, car Vilmille n’a toujours pas donner de signe de vie depuis son départ pour le quartier du lierre.

Vous vous souvenez de quoi après ça?
attention, je saurais si vous mentez....

Je regarde mes notes et je te dis ça.
joli compte rendu.

toujours pas d'iddée sur le suite? Dois-je comprendre que le scénario n'est pas fini? Voulez-vous jouer l'épilogue après ces quelques mois d'arrêt?

Hum je pensais qu'on avait fini ce scénar en fait lol

effectivement il était fini ^^. Résumé à suivre!

huuuuuuum. viiiiiiite

ce vendredi je vais rester à la maison, Lulu a la grippe et je bosse comme un connard cette semaine et j'ai bien peur de chopper son truc en plus...

lâcheur !

Ouais bah garde ta saloperie de grippe !

c'est clair... Bon ben ca se jouera à 3 joueur, à moins que je n'arrive à faire venir DD en guest star!